Le chateau de Spookslot part 2

Elle dit ceci en poussant violemment la porte. En arpentent les couloirs nous somme arrivés dans le hall, mais nous n’y sommes pas restés très longtemps, juste assai pour récupérer un vieux trousseau de clés. Dessus une partie des clés qui étaient rouillé et d’autre avaient des formes bizarres, seul deux d’entre elles attiraient mon regard car elles étaient en or.
-Est que vous allez m’expliquer…
-Tu veux bien arrêter de parler comme si j'étais une étrangère. Je connais ton nom et tu connais le mien, non ? Alors arrête avec tes « vous » à tout bout de champ.  
C’est assai bizarre mais à chaque fois que j’ouvre la bouche j’ai l’impression de dire une bêtise et qu’après je n’aurai plus le temps de le regretter.
-Si tu veux savoir où l’ont vas c’est dans les jardins il faut que je te présente à quelqu’un.
Et voilà c’est repartie pour c’est couloirs de trois kilomètres, mais ils sont tellement surchargée que ça devient un vrai parcoure de combattent. Arrivés dans les jardins nous allâmes devant un grand kiosque. Je voyais mal ce qui se trouvait dedans car il était recouvert de lierres. Je crus voir une statue de marbre blanc. Plus je m’approchais du kiosque plus il me semblait entendre le bruit d’un piano, une musique triste mais apaisante.
J‘eu comme un haut le cœur, peut être que je n’e voulais savoir ce qu’il contenait, aujourd’hui la statue est vraiment là.

Arrivé devant il y avait une grille de fer forgée.  
Je m’avançai pour l’ouvrir, je l’avais à penne n’effleurais qu’elle disparue. Dedans il n’y avait qu’un piano massif. Je pensai que tout ce si n’était qu’un, mais ce n’était pas le cas. Le piano se mit à jouer.
- Il faut que tu comprennes qu’elle  que chose.
La plupart des habitants de ce château sont sous l’emprise d’une malédiction. Le fais que tu sois là, c’est par ce que toi aussi tu es sous l’emprise de cette malédiction.
-Ce n’est pas vrai ...mais pourquoi ?...Je ne comprends pas…  
-Musson t’en parlerait mieux que moi puisqu’il fait partie des détectives venues pour comprendre, pourquoi en une nuit l’une des plus paisibles bourgades est devenue le plus grand parc des horreurs, et l’endroit le plus hanté du pays.
-Mai, je voudrais bien savoir pourquoi l’ancien propriétaire est devenu complètement cinglé.
-Elle, est devenue comme ça, car elle ne voulait plus de ses fameuses visions. Ou plutôt je devrais dire qu’elle ne voulait et ne pouvais assumer ses responsabilités. Je ne sais pas comment ni pourquoi, mais elle a eu du jour au lendemain l’attitude de gens qui n’ont aucune compréhension de ce qui est irrationnel.
-Et… Glyntodd  qui est ?... Qu’à t-il avoir dans tout ça ?
-Lui aussi il maudit mais pas pour les mêmes raisons. Mais sa ne change rien. À pré tout un vampire reste un vampire.
J’entendis ma mère m’appeler, je partis
Voir ce qu’elle me voulait, de tout manier Mai avait déjà disparu.
Durant la soirée mes parents et moi parlions. Pendant qu’un orage qui nous fit allumer les chandeliers. Ils m’expliquaient que durant les prochains jours ce que je devais faire. Leur paperasse les empêchait de continuer le déménagement.
Et de plus les personnes qui travaillaient ici, vont revenir. Cette idée me travailla durant une partie de la soirée.
Je m’endormis sans m’en rendre compte. Ce n’est pas le soleil ou le bruit qui me réveilla mais bien un étrange rêve.
Se la  devait être dans l’une des pièces du château. Il y avait un grand banqué mais la nourriture était toute pourrie, quant aux boissons c’était remplacer par ce qui semblait être du sang. Et tout était recouvert de toile d’araignée.
Au bout  il y avait quelqu’un, je n’arrivais pas à la voir distinctement, mais j’entendis très bien ces mots :
-Regarde le portrait d’Orelli, ses larmes font saigner son cœur.
Je tournais la tête pour voir ce qu’elle désignait. Mais il n’y avait qu’un grand miroir. Le vent parcourut la pièce, m’empêchant de bouger. Ce rêve semblait tellement réel. Absorbait par cette question, je n’entendis pas cette personne approchait. Entre ses mains elle tenait une grande faux. En levant les yeux je ne vis que la faux s’abattre sur moi, puis plus rien. Le néant. Je n’entendis que ces mots si « si il t’attrape toi aussi tu auras ton propre portrait. »
Je me réveillai, j’étais complètement gelé.    

Dés que je fus préparait je pris mon sac et descendis. Pour la première fois depuis des années mes parents me conduisirent à l’école, j’en fis la remarque et d’un ton ironique je dis qu’il allait pleuvoir. Se fut de courte durée une fois déposer, il était déjà partie

Après un passage chez le principale pour tout se qui administration et une visite guider, j’eu le droit a un spitch pour les présentations. Peur et mal être se sont les seules choses au quel j'arrivai a pensé, ils me regarder tous comme si y avait écrie Satan dans mon dos. Ma voisine elle non, et ont pouvait pas dire qu’elle avait sa langue dans sa poche. Durant la pose je ne parlais qu’avec Adèle la seul qui me parla, elle me regardait comme si j’étais E.T. mais sa l’amusait plutôt qu’autre chose. Il eu bien quel qu’un d’autre qui mais adresser la parole, mais pas pour dire la chose la plus gentil du monde, c’est un garçon du nom D’Emeric, lui aussi étais regardait de travers.

J’appris qu’Adèle étais une gitane mais sa famille a toujours vécu ici. Se qui ma permis de posée plus de question en y trouvant de meilleur réponse, seul dilemme c’est qu’en retour je devais lui faire visité le château. A force de parle de tout ce qu’ont pouvait dire sur une route de campagne, je réussi a rentré, alors que je ne savais même pas ou j’allais.

J’eu comme deux coup sur la tête quand on me présenta les personne qui vivaient « maintenant » dans la même demeure,*tu parle c’est qu’une bande de parasite* c’était bien évident Mai et une drôle de fille fort sympathique, mais sur le coup j’ai comme un doute. Il y avait bien sûr sur le rebord de la fenêtre Musson qui essayait de ne pas rire, en voyant ma tête d’ahuri* c’est à peine si je ne voulais pas le jetée par la fenêtre *.

-Sa aurai au moins fait un super vole d’essai…
-Tu a dis quel que chose ?
-N’en rien, rien! Je vais aller faire…une bari…non mais devoir.
-C’est bizarre je croyais qui avait que les gargouille qui volaient.
- Sa ce voit que tes pas posé et réfléchie.
-Sa doit être a cause de qu’en ont ma assommer.
-N’importe quoi Kanha !!