Le chateau de Spookslot part 3

Je me suis barricadé dans ma chambre pendant prés d’une heure, seul a  ma permise de remettre mes idée en place, pas seulement ce de ces dernier jours,  mais celle de tout ma vie. Cette grande réflexion ne me permis pas de remarqué que Musson étais la.
Je ne  les pas vraiment remarqué  avant, des images de ma vie banal ont commencé à changer et a disparaître.

-Tu commence à voir ce cache les gens, la vraie nature des choses.
-C’est pour sa alors que je vous vois en comme vous êtes vraiment.
-Oui, sa peut aussi sauter quel que cas dans certaine famille.
-C’est image ne veule pas s’effacer !! Je ne me souviens même pas à quoi elles ressemblaient avant !!
Il saute du lit, puis sur la commode prés de la fenêtre :
-Tu devrais alors regardais la ou rien ne change, tu ne là sen doute pas remarquer mais seraient lieu ou objets réponde a leur seule volonté. Le kiosque par exemple et le seul endroit ou personne n’a le droit d’allé a par toi puisque tu la ouverte…

Je me dirigeais alors vert des cartons et en ouvris un qui contenais un vielle album photo, qui trop rempli débordai tellement que je l’avais enveloppais dans un linge. Je le pris et descendis dans les jardins.   Quand j’ouvris la porte du kiosque il n’y avait plus ce grand piano prennent tout la place, mais un autre  plus simple, il y avait aussi  un fauteuil et un coffre.

Installé, le piano se mis a jouée encore tous seul. Rien quand ouvrant mon album je ne peu m’empêchais de versai une larme, tout les photos étais de venue exécrable, détestable, certain visage étaient déformaient, des couleurs et des formes apparaissaient. L’une d’entre elles tombât par terre, il n’y avait rien dessus, mais derrière il était écries « voies le passé que les mots n’explique pas », je la pris et je l’ai mis dans ma poche. Quand au reste je le mis dans le coffre, comme pour m’en débarrasser tel un affront. Je me laissai alors berçai par cette musique ni triste ni joyeuse, seulement calme.

Rien avoir avec ce rêve qui me prit. Un chien grognant et couvert de sang courait dans le village, jusqu'à une vielle demeure. Le portail s’ouvris en grincent rendent encore plus glauque cette vision. Le chien se retourna, il avait cinq yeux rouge et dans sa gueule il tenait une main sans rien qui la prolongeais, dons le sang coulais encore.

Cette étrange chien lâcha la main, et elle commença a bougeait comme possédé. Je voulus partir mais des ronces men empêché. Un corps se format a partir des ombres et de la main. Membre a membre cette personne se formais, mais pas complètement, il était encore mutilais quand il s’avançait vers moi.

-Tu a de la chance de rêver, c’est un monde facilement sous mon contrôle. Tu ne peux ni t’enfuir et ni criais.
-Sa n’empêche rien.
Il me saisit par la gorge fermement, bien que se ne sois qu’un rêve je suffoquai comme si il me tenait vraiment.
-C’est vrai, toi tu le sais que ceci n’est qu’un rêve ! Mais ton esprit le sait il ? Bien sur que non !
Un gouffre s’ouvrit alors sous mes pieds.
-La prochaine foi que l’ont se verra se ne sera plus un   rêve.

-…Alors… a la prochain… Glyntodd…
Un sourire apparue au coin de se qui restais de son visage, et il me lâcha dans le gouffre.
Je me réveillai un vent froids se fit sentir, je restai la. A la place du coffre il y avait à présent un grand miroir. Je me regardais dedans mes jambe étais en sang et a mon cou des marque comme si ont m’avais vraiment étranglée.  

-Il fallait bien se douté que sa arriverai.
Je sortie du kiosque, qui se referma derrière moi. Je rentrais nonchalante, parfois en m’appuyant sur les murs et laissait des trace de sang au sol. Une fois les bandages fait je me dirigeais vers la bibliothèque ou plutôt se qu’on appellera un débarra.

-Es que tu vas enfin, j’ai l’impression d’avoir le diable a mais trousse.
-Un magicien en faite. Bien que je ne connaisse pas tout l’histoire mais seulement des brides. Le reste des pièces de ce puzzle infernal se trouve à l’extérieur d’ici et je ne peux pas m'aventurais à l’extérieur de ces murs.
-Dit seulement comment trouvais ces pièces et je l’ai trouverai. Je lèverais cette malédiction s’il le faut.

-Très bien alors ! Lève d’abords le sort qui me retiens et je t’aiderai peut être.
J’ai tournais les talons sens me posée de questions. Me dirigent dans vers ce grand salon, qui étais le même que celui de mon rêve, mais avec des différences qu’en même. A la place du tableau qui été dans mon rêve se trouvais une statue, celle que j’avais aperçu dans le kiosque la premier fois. Je marmonné alors ces mots :
« Regarde ses larmes font saignai son cœur. »
A la lueur d’une bougie je pris un tisonnier, puis m’ouvrit légèrement la main. Le sang qui sans réchappais je le mis sur les yeux de cette statue. Le son d’un mouvement mécanique se fit entendre. Les bras de la statue bouge aire et laissaient apparaître son cœur.

-Tu vois je l’ai trouvé, je peux y arrivais.
-C’est peut être vrai, Caris. Mais tous les débuts sont faciles.  
Je pris le cœur et le lança violemment au sol, il devient alors un nuage de poussier. Quand ce nuage est redevenu poussière au milieu si trouvais une faux.
Mai prit la faux et l’a mettant sur son épaule elle dit :

-Au moins avec sa je pourrais me battre correctement.
A l’extérieur le chien du cauchemar nous regardais par l’une des fenêtres, quand nous quittâmes la pièce il disparue. Sur l’un des balcons Daina le regarda partir.
-Tu a vue sa Bonnie, il va y avoir bientôt une grande fête comme la première fois. Une fête en rouge, où ont sera tous rouge.
S’adressant à une gargouille qui semblait lui répondre.